Le Bonheur, nous sommes toutes à sa recherche !
Oui oui nous sommes toujours à la recherche du bonheur. Bien sûr notre source de bonheur est en Dieu mais dans le concret, dans notre quotidien, qu’en est-il ?
Je vais partager avec vous quelques petits rappels qui seront je n’en doute pas nécessaires.
Tout d’abord la définition du bonheur :
« c’est un état heureux et durable de bien-être, de plénitude, de satisfactions. »
Accumuler des satisfactions mène d’ailleurs au bonheur. Mais l’inverse ?
Accumuler des échecs, des frustrations, des peines, des douleurs nous font parfois couler dans le négativisme, le fatalisme et ainsi on se dit « je n’ai pas le droit au bonheur ».
Pourtant nous pouvons participer de plusieurs manières à la construction de notre bonheur, tout d’abord en mettant Dieu en priorité dans notre vie mais aussi par des petits principes pas si durs que cela à appliquer mais qui peuvent changer notre quotidien.
Voici quelques points intéressants lu dans un magazine dont vous pouvez voir ci-dessous la synthèse en espérant que cela pourra vous aider, cela fait réfléchir en tout cas.
- Donner : il y a plusieurs façons de donner mais cela procure toujours une paix et une satisfaction personnelle, la bible dit d’ailleurs qu’il y a plus de joie à donner qu’à recevoir. Si on veut de la joie alors donnons !
Que pouvons-nous donner ? Un sourire, un service, un coup de fil, un compliment, un courrier, de l’argent, un vêtement qu’on ne met plus, bref il y a tant de choses à donner.
2) Cultiver sa gratitude : savoir dire merci pour les bonnes choses plutôt que de faire toujours des reproches. Et puis aussi prendre conscience de tous les petits bonheurs quotidiens, les savourer. Compter les bienfaits de la journée.
3) Vivre le présent : ne pas ruminer le passé et avoir peur de l’avenir. Vivre l’instant présent, savourer les choses simples de la vie : le soleil, le rire de nos enfants, un bon film, un bon café, une bonne bouffe entre amis, bref… savourez !
4) S’impliquer : soyons acteurs de nos vies, affirmons nos opinions, engageons-nous pour une cause, faire du bénévolat, se sentir utile c’est une condition du bonheur.
5) Aller vers l’inconnu : se trouver un nouveau loisir, découvrir une nouvelle facette de soi, se faire de nouvelles amitiés, osez des choses qu’on ne se croyait pas capables.
6) Ne pas s’éparpiller : ne pas devenir esclave d’un système, savoir dire non à certaines sollicitations, persévérer dans ce qu’on commence.
7) Se dorloter : avoir de la douceur envers soi-même, appliquons la maxime « un plaisir par jour éloigne le stress » Si tu es fatigué, repose-toi, ne dépasse pas certaines limites. Les gens dans le ministère ont tendance à oublier cela et idolâtrent la force, la puissance mais un jour le corps ne suit plus. Attention au surmenage !
8) S’offrir des émotions positives : rire, admirer, aller au ciné, regarder un film en famille, aller au musée, se faire un baptême en hélico ou en montgolfière, un baptême de vitesse en voiture (ah ah nous sommes fans !), que sais-je ? Mais il faut s’aérer la tête (valable pour les ministères aussi !!)
9) Se détacher du matériel : en vouloir toujours plus mène à la frustration. La richesse intérieure rend heureux. Il faut ce qu’il faut mais jamais d’excès, de gaspillage ou de luxe inutile.
10) Accepter sa différence : ne pas mesurer notre réussite à celle des autres. On a chacun un chemin différent, on a tous un talent, cultivons une passion telle la cuisine, le dessin, la musique, le jardinage. Ce n’est pas incompatible avec la vie chrétienne et cela nous fait rencontrer du monde. Dieu nous aime pour ce que nous sommes, pas pour ce que nous faisons. Aimons les autres aussi pas pour ce qu’ils font mais pour ce qu’ils sont. C’est toute la différence. Ne soyons pas des juges !
Au niveau médical, nous savons que les gens heureux développent deux fois moins de maladies cardio-vasculaires que les autres.
Après des tests réalisés on s’aperçoit, que les optimistes ont plus d’anticorps contre certaines maladies. Ils vivent aussi plus longtemps et font oh surprise reculer certaines maladies dégénératives telles Alzheimer, arthrose, certains cancers.
Un médecin psychiatre de Paris a dit : « on ne connait pas tout mais on sait que ce qui affecte notre esprit a des effets sur notre cerveau puis sur notre immunité, par l’intermédiaire des neurotransmetteurs ».
Il faut donc cultiver un bon moral ! L’optimisme est le meilleur des remèdes.
Toutes les paroles négatives qui sortent de notre bouche nous détruisent. La bible dit « la mort et la vie sont au pouvoir de la langue » et « ce que je crains c’est ce qui m’arrive, ce que je redoute c’est ce qui m’atteint ».
Le Bonheur c’est aussi accepter d’être touché, interpellé par la souffrance de l’autre et simplement accueillir ce qu’il partage dans le respect, la bienveillance et l’espérance.
Il y a tant de souffrances qui ne peuvent pas être soulagées par l’intervention pratique d’un autre!
Soyons là auprès de celui ou celle qui est dans le besoin, il y a TANT de besoins !
Dieu au travers de nous …..
Les souffrances d’autrui peuvent être diminuées lorsqu’elles sont simplement partagées, , écoutées sans jugement, dans l’acceptation inconditionnelle de celui ou celle qui les vit.
Donner, se donner aimer, aimer jusqu’à la compassion, tel Jésus qui savait avoir compassion de son prochain ….
N’est-il pas notre Modèle ?
Voilà une part de vrai bonheur !
Rien à rajouter à cela n’est-ce pas ….
Merci à A. DM