C’est aux chefs des prêtres que Judas confessa qu’il avait péché en livrant Jésus, un homme juste. (Matt 27 : 3- 5). Il fut pris de remords et alla se confesser.
Malheureusement, ce n’est ni la religion, ni ses dirigeants qui purent le libérer de son fardeau et le soulager. Certes, auprès de Jésus il aurait pu trouver amour, grâce, pardon et restauration. Pourtant, il décida de prendre lui-même les choses en main pour se soulager.
« L’Eternel parla à Moïse, et dit: Parle à Aaron et à ses fils, et dis: Vous bénirez ainsi les enfants d’Israël, vous leur direz: Que l’Eternel te bénisse, et qu’il te garde! Que l’Eternel fasse luire sa face sur toi, et qu’il t’accorde sa grâce! Que l’Eternel tourne sa face vers toi, et qu’il te donne la paix! C’est ainsi qu’ils mettront mon nom sur les enfants d’Israël, et je les bénirai. »
L’échec met en évidence nos limites et nous ramène à une triste réalité : nous voulons mais nous ne pouvons pas toujours !
Nous considérons comme un échec tout ce qui ne réussit pas dans nos entreprises, nos projets, nos attentes, dans les différents domaines de notre vie : couple, famille, vie professionnelle, vie spirituelle
Voici un titre qui intrigue. C’est intentionné !
Lorsqu’on entend ce slogan : « Deux pour un ! », on pense tout de suite à ces époques fatidiques des soldes. Vous savez, ces périodes de l’année ou beaucoup d’entre nous s’adonnent à ce sport féminin…communément défini par « faire du shopping ou faire les courses ». Disons « faire les courses », qui revêt vraiment un ton et un caractère plus sportif !
1Jean 2:17
Et le monde passe, et sa convoitise aussi; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement.
Romains 12v2 :
Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.
Voilà un titre qui semble aller à contre-courant avec l’atmosphère d’incertitude, d’instabilité et d’inquiétude qui se répand un peu partout sur la planète. Pour beaucoup ce n’est pas le temps de rire mais de pleurer, s’inquiéter et s’alarmer.
Que de tendres souvenirs d’enfance le mot de Noël suscite-t-il en chacun de nous !
Chacun ? Hélas tout le monde n’est pas de la fête.
Les joies de la famille, vous connaissez ?
Bienvenue dans mon club favori, celui des relations humaines très proches. Les nôtres : notre famille, notre couple et nos enfants.
Parents de trois garçons nous avons traversé trois fois la même période dans notre vie : leur adolescence.
Oui oui nous sommes toujours à la recherche du bonheur. Bien sûr notre source de bonheur est en Dieu mais dans le concret, dans notre quotidien, qu’en est-il ?
Je vais partager avec vous quelques petits rappels qui seront je n’en doute pas nécessaires.
Tout d’abord la définition du bonheur :
« c’est un état heureux et durable de bien-être, de plénitude, de satisfactions. »