Il est terrible, ce sentiment d’avoir offensé le Seigneur et mérité un châtiment.
Il ne s’exprime pas par des larmes de circonstance, mais par des pleurs cachés qui en disent long sur la souffrance de celui qui s’épuise, jour et nuit, à chercher la paix.
1- Pouvez-vous nous donner quelques pistes sur votre engagement et votre mission, qui vous amène aux quatre coins du monde ?
Il y a quelques années, exactement 20 ans Dieu lui a révélé qu’elle serait missionnaire et qu’elle prêcherait ; et il l’a appelée aussi comme prophète au travers d’un verset biblique.
Jérémie 1 :10
« Regarde, je te donne en ce jour autorité sur les nations et sur les royaumes pour déraciner, pour démolir, pour faire disparaître, pour raser, mais aussi pour bâtir et pour planter. »
Un jour nouveau est un cadeau tout neuf. Pourquoi accepter de l’abandonner à la morosité et à la tristesse ?
Pourquoi céder au syndrome des lundis ou des fins de vacances ?
Dés le matin, que ta première pensée s’élève vers le Seigneur. Qu’elle soit d’espérance ou d’inquiétude, s’exprimant par des soupirs ou par un chant, le Seigneur accueille ta prière.
Témoignage de Christine
J’avais une maladie orpheline, et j’ai eu aussi quatre cancers. Cela m’amenait à prendre 30 médicaments par jour. Lors d’une conférence chrétienne, j’ai été guérie par l’action du Saint Esprit de 2 cancers instantanément (cancer de l’intestin et du duodénum).
En mai 2014, dans l’église d’Anger où je suis, David le frère de mon pasteur est venu faire une mission. Il réside en Angleterre où il est responsable d’UCB. Il est venu en mission pour 3 jours, et il a un ministère accès sur la guérison.
Je suis née dans une famille chrétienne catholique, nous étions 9 enfants. Avec mes frères nous allions à l’église tous les dimanches. Je suis allée au catéchisme et j’ai fait ma communion, confirmation, etc…
A ce moment-là je n’aimais pas aller à l’église mais mon père me forçait (il était très dur pour cela). Ma maman était trés malade, alcoolique, mon père travaillait trés dur et de ce fait, j’ai passée pratiquement toute mon enfance dans des centres.
La calomnie est sans doute la forme la plus perfide du mal. Quand on s’attaque à mon honneur, je me sens sali et je souffre atrocement. Alors je me fâche pour défendre mon droit. Quoi de plus normal ?
Déjà quand nous étions enfants, nous avions parfois peur la nuit. A l’approche de la toute fin du jour, le sommeil affleure, le silence s’installe, nous voilà seuls.
Des impressions émergent : visages entrevus, bribes de conversations, images plus ou moins confuses, projets pour demain…
L’angoisse s’annonce.
Jésus a dit : « Vous aurez à souffrir dans ce monde » (Jean 16.33). Il est certain que la vie nous lance sans cesse de nouveaux défis susceptibles de mettre à l’épreuve notre foi. Comment peut-on vérifier le poids que peut porter un pont ? En le mettant à l’épreuve de ce poids précis !
Les nations s’agitent, mais pourquoi ?
Les peuples complotent, mais c’est pour rien !
Mais le Seigneur se met à rire, celui qui siège au ciel se moque d’eux. Puis il s’adresse à eux avec colère …
Montrez-vous intelligents ! Laissez-vous avertir, souverains de la terre. Soumettez-vous avec respect au Seigneur,
Reconnaissez en tremblant son autorité. (Psaume 2)
Réussir, le mot magique, le rêve. Obsession pour les arrivistes, déception pour les réalistes.
Mais réussir, c’est ne pas se contenter de coups d’éclat, travailler avec persévérance, dans l’espérance, avec amour.