Il a le « smile » le p’tit-bois-derrière-chez-moi . Un sourire bleu, blanc, vert ! Bleu pour les pervenches, blanc pour les perce-neiges et vert pour l’ail des ours. Oubliées les feuilles sèches, les branches mortes et les gelées. Il a pris son air de renouveau, son air de printemps.
J’aime beaucoup les roses. Pas les fleurs coupées (oui, celles-là aussi…) mais les roses dans leur élément naturel, les roses dans les jardins.
J’aime les grandes, j’aime les petites, j’aime les rouges, les roses, les blanches, les jaunes…. je les aime toutes !!!
Je trouve qu’il y a en a une telle variété … et j’arrive toujours à me laisser émerveiller par une rose !
Depuis quelques temps, avec mon mari, nous courons. Nous ne sommes pas de grands sportifs mais un pas après l’autre, un kilomètre emmenant un suivant, nous avons déjà parcouru une belle distance. Mais, ce qui est surprenant, c’est qu’aucune course n’est identique à la précédente.
Ça fait déjà trois fois que je le lave ce pantalon !
Une première fois parce qu’il avait des taches brunes, causées par un gel -douche. La bouteille, dans ma valise, a mal supporté l’avion. Du savon, en l’occurrence ça n’est pas trop grave. Sauf que celui-ci était à base de moût de raisin rouge (si, si, ça existe !) et les taches carrément résistantes à l’eau simple !
Depuis quelques temps, la notion de liberté vient me percuter profondément. Pour moi, le chemin de la liberté est long et semé d’embuche. Dieu travail en moi tranquillement mais surement.
Depuis chez moi, en bas, dans la plaine, c’est une dent.
Une dent qui domine ma plaine, ma maison. Une dent qui fait partie de ma vie, de mes racines, comme un acquis bien intégré. Elle m’a toujours paru comme Le sommet. Celui qui domine la vallée, ma vallée. Haut, très haut, abrupt, sévère. C’est derrière cette dent que, depuis toujours, le soleil se lève et m’apporte l’éclairage du matin.
Il y a des situations dans nos vies qui nous demandent d’escalader des montagnes, d’affronter des géants, de se replier ou de se battre.
Ce ne sont pas toujours ces combats sur lesquels on peut facilement mettre un nom: maladies, problèmes financiers, séparations… non.
Enfin, je retrouve quelque chose d’habituel, de connu, un peu de normalité dans cette période bizarre et instable où les informations évoluent jour après jour.
Quelque a choisi que je connais et qui me rassure : mon rendez-vous chez le coiffeur!
Paroles de Goliath :
Me voilà prêt. Prêt à me battre…
J’ai revêtu mon armure, celle qui protège mon corps de géant. Celle qui me donne l’air encore plus… géant. J’ai bouclé mon ceinturon et pris mon épée en main…