Le rendez-vous était fixé le samedi 9 octobre 2015 à l’église évangélique de Brignoles Centre Var pour 230 femmes bien décidées à se laisser interpeller par le Seigneur.
Pour la plupart c’était l’occasion de se retrouver, pour d’autres une première rencontre, mais dès les premiers chants apportés par une équipe de chantres et de musiciens dynamiques et remplis de l’Esprit dirigée par Rachelle Baroni, la joie se lisait sur chacun des visages.
« Je fléchis les genoux devant le père, de qui toute la famille dans les cieux et sur la terre tire son nom »
Ephésien 3.1415
Dieu créa la famille ! Toute la famille est caractérisée par son patronyme.
J’ai souvent entendu cette expression appliquée à ceux qui servent Dieu sans être salariés d’une église ou d’une association chrétienne, tout en travaillant pour telle ou telle église, ou pour telle oeuvre missionnaire. Ils sont présentés, comme des héros qui « vivent par la foi ».
Que nos paroles soient comme un rayon de miel !
Dans ma lecture de la Bible, je suis tombée sur Proverbes 16.24 : « Les paroles agréables sont un rayon de miel : elles sont douces pour l’âme et porteuses de guérison pour le corps. »
Ce passage m’a interpellée par sa profondeur et sa portée.
Souvent, nous plaçons la barre bien trop haute et compliquons des choses que Dieu a voulues simples. J’ai souvent pensé que pour voir Dieu agir de manière miraculeuse, il fallait parcourir tout un chemin de croix et remplir beaucoup de conditions spirituelles. Pourtant l’Évangile affirme le contraire !
Rester dans la sage et merveilleuse volonté de Dieu n’est pas toujours facile. Parfois, nous cherchons l’opinion des autres, ou bien nous essayons d’arriver au but par nos propres moyens, et parfois encore nous sommes trop pressées pour attendre Sa réponse.
En tant que professeure lesbienne de gauche, je méprisais les chrétiens, jusqu’à ce que je devienne moi-même chrétienne.
Le mot Jésus restait coincé dans ma gorge comme une défense d’éléphant. Impossible de le faire sortir.
Combien de larmes contiennent les yeux d’une femme ? Ont-elles une valeur ou sont-elles seulement un liquide salé qui coule sur nos joues quand nous sommes submergées par une grande émotion ? …
Pour moi c’est impossible de savoir la quantité que l’Eternel a mis à ma disposition, mais ce que je peux vous dire c’est que la mesure est à la hauteur de la générosité de notre Dieu.
Deux situations économiques identiques, mais deux réactions différentes !
La famine sévissait dans le pays,, aussi Elimelec prit-il la décision de quitter le pays promis par Dieu au peuple d’Israël, pays d’abondance, de lait et de miel. Elimélec a cru que la solution à son problème était Moab, que le secours viendrait de là.
Trois générations plus tard, au temps de David, la famine sera encore dans le pays.