Je mets quoi ?
Ah… c’est un peu le même cirque chaque matin. Oh pas un cirque bien compliqué… mais le dilemme d’une femme devant son armoire.
Qu’est-ce que je vais me mettre ce matin ?!?
C’est pas que j’ai pas le choix. Au contraire… j’ai trop de choix !!!
Des jours ça va tout seul. Je suis fixée avant même de me lever.


voilà tout ce que j’avais pour aider mon mari à décharger une remorque pleine de broyat. Pas grand-chose aux yeux de certains, n’est-ce pas ? Et pourtant, qu’est-ce que cette situation m’a interpellée !
C’est pas trop approprié parce que j’en suis qu’au p’tit déj’, mais… j’ai envie de champagne!
Il a le « smile » le p’tit-bois-derrière-chez-moi . Un sourire bleu, blanc, vert ! Bleu pour les pervenches, blanc pour les perce-neiges et vert pour l’ail des ours. Oubliées les feuilles sèches, les branches mortes et les gelées. Il a pris son air de renouveau, son air de printemps.
J’aime beaucoup les roses. Pas les fleurs coupées (oui, celles-là aussi…) mais les roses dans leur élément naturel, les roses dans les jardins.
Depuis quelques temps, avec mon mari, nous courons. Nous ne sommes pas de grands sportifs mais un pas après l’autre, un kilomètre emmenant un suivant, nous avons déjà parcouru une belle distance. Mais, ce qui est surprenant, c’est qu’aucune course n’est identique à la précédente.
Ça fait déjà trois fois que je le lave ce pantalon !
Depuis quelques temps, la notion de liberté vient me percuter profondément. Pour moi, le chemin de la liberté est long et semé d’embuche. Dieu travail en moi tranquillement mais surement.
Depuis chez moi, en bas, dans la plaine, c’est une dent.
Oh… bon, d’accord, j’avoue que je l’ai un peu laissé tomber ces derniers temps, la faute aux fêtes.