Qu’est ce qui me motive ?
Alors que nous sommes tous confinés, pour la plupart à l’arrêt ou au moins au ralenti dans nos activités et nos services, je me demandais pour quoi un sujet comme celui-ci était si fort sur mon cœur.
Alors que nous sommes tous confinés, pour la plupart à l’arrêt ou au moins au ralenti dans nos activités et nos services, je me demandais pour quoi un sujet comme celui-ci était si fort sur mon cœur.
C’est étonnant pour nous, tout à coup, le monde entier a quelque chose de commun : un p’tit virus. Pas une version bridée pour la Chine, une hollywoodienne pour l’Amérique, une colorée pour l’Afrique et une… propre en ordre pour la Suisse. Non. Tous le même.
Tous touchés, tous arrêtés, tous de la même façon. Tous sans exception… et sans aucun remède.
« C’était en mars 2020 …
Les rues étaient vides, les magasins fermés, les gens ne pouvaient plus sortir.
Mais le printemps ne savait pas, et les fleurs ont commencé à fleurir, le soleil brillait, les oiseaux chantaient, les hirondelles allaient bientôt arriver, le ciel était bleu, le matin arrivait pus tôt.
« Cela semble impossible jusqu’à ce qu’on le fasse » – Nelson Mandela
Cette phrase est infiniment vraie. Lorsque vous faites quelque chose quotidiennement ou régulièrement cela ne vous semble pas extraordinaire. Cela peut même vous sembler normal, fade, routinier.
Pour d’autres, ce que vous faites paraitra extraordinaire car en dehors de leur ordinaire. Cela paraitra même impossible !!!
J’ai vécu vraiment un petit moment incroyable, hier soir. Un de ces moments que Dieu nous prépare d’avance, un de ces moments parfait parce qu’il vous comble en toutes choses.
En effet, j’ai une connaissance de longue date qui, actuellement, donne des cours de français pour les personnes étrangères de notre commune. Et, dans le cadre de ces cours, ils ont étudié le vocabulaire du corps humain.
Alors que je me demandais de quoi j’allais parler dans cet article, le sujet s’est imposé à moi comme une évidence. J’ai senti un élan qui venait de mon cœur : « J’ai envie d’encourager une personne qui passe par la maladie. »
Je détestais les hôpitaux jusqu’au jour où j’ai dû m’y rendre pour accoucher de ma fille. Quelle angoisse et quel stress !
Chères Amies,
J’ai quelques petites courbatures, ce matin… dans les jambes, le dos, les abdos… signes que mon entraînement d’hier, au fitness, a été efficace.
Parce que, figurez-vous que j’ai pris de bonnes résolutions: le fitness deux fois par semaine et une ou deux bonnes marches en plus. Ca devrait me garder en forme… dans mon corps en tout cas !
J’ai appris dans mes premiers pas de la foi, que Dieu aimait qu’on l’adore avec Sa Parole, avec Ses attributs, ce qui le rend unique, spécial, Dieu, tout simplement. Quand je l’ai appris, j’y ai mis tout mon cœur et mon énergie car je voulais tellement Lui faire plaisir.
Je suis enseignante. J’ai repris mon activité en septembre après plus de cinq ans de coupure. Je suis confrontée à des enfants que je trouve changés. J’ai l’impression que les enfants que j’ai en face de moi sont de plus en plus blessés alors qu’ils ont moins de six ans, qu’ils manquent de paix, ils ont du mal à se fixer, se poser, n’ont pas de repère.
Une parole m’a interpelée il y a quelque temps. Jésus nous disant que le Royaume de Dieu est pour ceux qui l’acceptent (Jésus) comme un petit enfant (Luc 18v17). Et puis là, d’un coup, je me suis demandée ce que cela voulait dire être un enfant selon Dieu.