Regarde le chemin parcouru.
Il y a quelque temps, je regardais à ma vie. Je traversais un temps de découragement comme on en connait toutes. Et puis une phrase vient doucement se déposer sur mon cœur : « Regarde le chemin que tu as déjà parcouru » !
Il y a quelque temps, je regardais à ma vie. Je traversais un temps de découragement comme on en connait toutes. Et puis une phrase vient doucement se déposer sur mon cœur : « Regarde le chemin que tu as déjà parcouru » !
Depuis quelques temps, Dieu m’interpelle par deux sujets qui, dans un premier temps, m’ont semblé bien éloignés l’un de l’autre, mais qui, à force de réflexion, semblent au contraire bien proches. « Ne vous sabotez pas » et « Orgueil ou juste appréciation de soi ? » auraient pu être les deux titres choisis pour ces pensées.
Il n’en finit pas de souffler ce vent ! Ça fait deux jours qu’il ne nous laisse pas une minute de répit !
Il s’en est donné à cœur joie toute la nuit à me balancer des pives sur le toit, à claquer les portes, faire grincer les volets… mais cette fois… même pas eu peur !
Voilà une période des plus déstabilisantes qui vient nous interpeller en tant qu’être humain. Tous les systèmes économiques, politiques, socio-culturels n’ont pas fait le poids devant cette pandémie qui frappe le monde de plein fouet. Ils ont tous été mis à terre.
J’ai décrété un jour que, décidément… je n’aimais pas l’eau.
J’étouffais dès qu’un peu d’eau coulait sur ma tête. Je me noyais dès que je buvais la tasse, même de Nespresso. Je n’ouvrais plus les yeux pendant deux heures pour quelques petites éclaboussures. Décidément, non, l’eau n’était pas mon élément !
Il y a quelques temps une de mes dents s’est cassée alors même que je ne mangeais… qu’une frite ! Il a donc fallu prendre rendez-vous avec le dentiste qui m’a annoncé l’infiltration d’une carie dans une dent qui avait pourtant déjà été soignée.
Il y a un proverbe qui parle du calme avant la tempête, j’aimerais parler du silence avant la victoire.
Alors que le peuple d’Israël était face à la ville de Jéricho que Dieu leur donnait, il nous est dit que Dieu leur a demandé de faire le tour de la ville pendant une semaine .

Alors que nous sommes tous confinés, pour la plupart à l’arrêt ou au moins au ralenti dans nos activités et nos services, je me demandais pour quoi un sujet comme celui-ci était si fort sur mon cœur.
C’est étonnant pour nous, tout à coup, le monde entier a quelque chose de commun : un p’tit virus. Pas une version bridée pour la Chine, une hollywoodienne pour l’Amérique, une colorée pour l’Afrique et une… propre en ordre pour la Suisse. Non. Tous le même.
Tous touchés, tous arrêtés, tous de la même façon. Tous sans exception… et sans aucun remède.
« C’était en mars 2020 …
Les rues étaient vides, les magasins fermés, les gens ne pouvaient plus sortir.
Mais le printemps ne savait pas, et les fleurs ont commencé à fleurir, le soleil brillait, les oiseaux chantaient, les hirondelles allaient bientôt arriver, le ciel était bleu, le matin arrivait pus tôt.