Cette nuit un petit mensonge s’est introduit dans mon sommeil.
Je dormais, disons, plutôt … moyen. J’étais « entre deux eaux » et c’est alors que j’ai entendu un bruit grandissant qui m’a fait penser qu’une tempête s’annonçait. Vous savez, ces rafales de vent qui commencent doucement et vont en crescendo.
Il y a quelque temps, je me suis posée la question de ma propre légitimité. Beaucoup de questions se bousculaient dans ma tête. Suis-je légitime de faire ce service dans mon église ? Je ne devrais pas avoir cette « position ». Ne serais-je pas une imposture ? Les autres, mes responsables, mon pasteur vont finir par me démasquer, par comprendre.
Chères amies,
J’ai vécu un tremblement de terre, une fois. Ca n’est pas courant par chez nous, même plutôt rare.
Pour moi, en tout cas, ça a été la seule et unique fois, et je peux vous dire que c’est vraiment … « flippant » !
Il faisait beau et j’étais sur ma terrasse, au jardin. Tout à coup, il y a eu comme un bruit sourd, une sorte de coup de tonnerre qui se prolongeait, sauf que le ciel était bleu, bleu. Puis, presque au même moment, les vitres se sont mises à trembler comme si elles allaient voler en éclats, toutes en même temps !
La bonne nouvelle, c’est que j’ai le choix. Entre la « femme enfant », la « femme actuelle », la « femme fatale » et bien d’autres encore (Dieu merci..!^^), je peux décider quelle femme je veux être. Et je peux même décider de l’attitude que je veux adopter face à mes circonstances. « Femme fragile », « femme guerrière », « femme à l’écoute », « femme vengeresse ».. De fait, selon l’attitude retenue, l’impact que j’aurai sur moi-même et sur mon entourage ne sera pas le même.. A nouveau, c’est la conséquence d’un choix !
En chemin vers nos destinées…
Secret pour protéger
Facebook appelle cela un « groupe secret ». A moins que quelqu’un ne vous y ajoute, vous ne le trouverez pas dans vos recherches. Personnellement, je préfère parler de « groupe protégé ». Car protégé des regards curieux ou indiscrets et protégé des critiques ou commentaires jugeants, parfois même nocifs pour les personnes dont elles sont les cibles.
« Le poids absolu n’a pas d ’importance. Cela dépend de combien de temps je le tiens.
Si je le tiens pendant une minute, ce n’est pas un problème.
Si je le tiens pendant une heure, j’aurai une douleur dans mon bras.
Si je le tiens pendant une journée entière, mon bras se sentira engourdi et paralysé.
Dans chaque cas, le poids du verre ne change pas, mais plus longtemps je le tiens, le plus lourd, il devient.
Mes très chères !
Je ne me relis pas souvent. En fait, je n’aime pas trop ça, le retour du miroir. Mais là, j’ai fait une exception et je réalise que depuis quelque temps…eh bien, dites donc… je ne suis pas très gaie. Il est temps que ça change!
Alors voilà, il m’arrive parfois de me retrouver dans des situations, comment dire… “bloquées”. Peut-être parce que j’ai fait des gaffes et que je ne sais pas comment m’en sortir, mais ça peut aussi être indépendant de ma volonté.
En ce temps de rentrée, nos agendas se réorganisent pour mettre en place la saison d’activités. Il faut composer avec les déplacements de ce nouveau job (passionnant…mais trop loin !), les nouvelles activités sportives de la petite dernière, les cours de solfège du plus grand, les déplacements du mari, l’engagement associatif, les activités de l’église locale… et tout le quotidien à gérer.
Il m’est revenu à la mémoire une balade que nous avions faite avec mon mari lors d’un séjour sur l’île de Madère.
Nous avions projeté de suivre une « levada » dont le tracé nous avait été conseillé par le guide touristique.
Une levada, c’est une sorte de canal d’irrigation ou d’aqueduc qui achemine une importante quantité d’eau et qui est creusée à flanc de montagne en épousant (très bien !) les courbes de niveau.
Bon… je sais, on l’a déjà fait ce titre. Mais il me plaît bien, alors pour une fois, je fais un « copier-coller » !
Qui n’a pas besoin d’amour ? Qui peut dire, sans se mentir à soi-même : « Je n’ai pas besoin qu’on m’aime. Je m’aime assez tout(e) seul(e) » ?