Un seau et une petite pelle…
voilà tout ce que j’avais pour aider mon mari à décharger une remorque pleine de broyat. Pas grand-chose aux yeux de certains, n’est-ce pas ? Et pourtant, qu’est-ce que cette situation m’a interpellée !
Je n’ai pu m’empêcher de penser à ce petit garçon avec ses cinq pains et ses deux poissons. Lui avait pensé à amener à manger. Pour lui tout seul, la quantité était intéressante mais pour tout le monde ? C’était une autre affaire…