Réussir, le mot magique, le rêve. Obsession pour les arrivistes, déception pour les réalistes.
Mais réussir, c’est ne pas se contenter de coups d’éclat, travailler avec persévérance, dans l’espérance, avec amour.
« Si vous aviez de la foi comme un grain de moutarde, vous diriez à cette colline : Déplace-toi, et elle se déplacerait ! »
Si vous vous débattez aujourd’hui face à une montagne de problèmes, si vous luttez contre le désespoir, la solitude, la maladie, les dettes, il vous est difficile d’envisager l’avenir sous un jour différent.
« Vous devez adorer Dieu, non parce qu’il a besoin de vos louanges pour satisfaire son amour-propre, mais parce que vous ne pourrez jamais le comprendre et apprécier sa présence sans adoration.
Tu portes le nom du Seigneur. Si tu es chrétien, si tu dis que je suis chrétien, tu portes le nom du Seigneur. Tu es responsable du témoignage que tu donnes, et de comment tu portes Son nom. Tu montres Christ. C’est ta responsabilité.
Dans ce sens, le mot « épreuve », pour la plupart d’entre nous, porte une charge nettement déplaisante. On a beau se raisonner et rationaliser, il n’y a rien à faire. La notion « d’épreuve » dans son sens négatif s’impose à nos pensées. Pourtant, lorsque nous regardons à l’étymologie du mot épreuve, nous découvrons qu’il vient du latin « probare » et signifie essayer.